Le billet de Mata Ibu du mois dernier intitulé « A Nyepi, on oublie les histoires de visa… pour un jour » n’a pas plu du tout à notre ancienne contributrice Papaya…
Les bule bien obligés de « changer de disque » au moins à Nyepi ?  Comme c’est amusant ! Ainsi Ibu Mata est lasse d’entendre leurs « histoires de visas » ? Et s’il n’y avait pas Nyepi, ils ne fermeraient donc jamais leur caquet ?  Personnellement, je pense que nous, les bule, on se passerait bien de galérer pour avoir le droit de séjourner à Bali plus longuement, plus commodément et pour moins cher… ça nous arrangerait aussi que les lois ne changent pas tous les mois, nous contraignant à en faire un de nos sujets de conversation principaux car ne pas être au courant pourrait nous valoir amendes monstrueuses, voire l’expulsion. En fait, êtes-vous bien sûrs que l’auteure de ce texte est indonésienne ? Les Indonésiens que je connais sont des gens pleins de compassion, surtout lorsqu’on aborde des problèmes réels et anxiogènes devant eux. Ou bien, dans le doute, ils s’abstiennent. Ils ne prendront pas leur plume pour se moquer. A mon avis, le mari bule est passé par là. En tout cas, je me réjouis de ce que leur couple plane au-dessus des préoccupations médiocres du bule biasa

Nancy Causse, dite Papaya
 

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motard dans la cendre

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merapi novembre 2010

face sud du merapi

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paysage de désolation après le passage des lahar