Une autre histoire, un larcin commun à tous les endroits touristiques du monde, le vol à l’arraché…
Monsieur le consul et autres lecteurs de la Gazette de Bali, depuis des décennies j’aime à venir et revenir à Bali, j’aime à lire et relire la Gazette de Bali et surtout les histoires pittoresques de Monsieur le consul alors, après bien des réflexions, j’aimerais vous conter mon histoire. C’était le 14 décembre dernier, en rentrant de shopping avec une amie sur notre moto, à deux pas de notre pondok, dans une petite ruelle attenante à la Batubelig, un homme venant à contresens s’est arrêté en nous saluant d’un « hello » et, simplement, a pris mon sac que j’avais malencontreusement attaché à la mob et est parti à toute vitesse. J’ai perdu du temps en essayant de redresser la mob et le poursuivre en vain... Je lui ai laissé 300 euros, un portable, mes lunettes de vue et de soleil... Et surtout maintenant, je suis très en colère car des attaques comme celle-ci se répètent pour ainsi dire tous les jours, car dès que je raconte ce méfait, chacun y va de ses multiples histoires. Je n’ai plus du tout envie de revenir à Bali, j’avais un visa de deux mois mais je vais finir mes vacances en Thaïlande, je m’y sens plus en sécurité. Svp : prévenez les touristes et surtout les femmes à moto qu’il y a du danger, car ces vols à la tire peuvent se finir à l’hôpital. Adieu Bali, snifffff !!!!!!!
Joëlle
1 commentaire:
Bonjour,
Même si ces heurts sont condamnables, je comprends la situation de certains balinais.
« C'est le revers de la médaille » comme on dit en Français ;-) À trop exploiter les populations locales, celles-ci finissent toujours par se rebiffer.
Accepteriez-vous de percevoir 70 € par mois pendant que votre voisin pompe 300 litres d'eau pour sa douche quotidienne ? Ce n'est qu'un exemple parmi mille autres mais n'est-il pas normal que de telles inégalités créent des tensions entre expatriés et « indigènes » ?
Je crois sincèrement que ces bouleversements dans l'équilibre paradisiaque de Bali ne vont pas s'améliorer avec les années à venir. Bien au contraire...
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