Décès de Daniel Cirlande
Nous avons la douleur de vous apprendre le décès de Daniel Cirlande survenu le vendredi 13 juillet dernier dans sa 61ème année. Il laisse derrière lui son fils de 11 ans Laislee, sa femme Suly, ses deux grandes filles et beaucoup d’amis, pas seulement dans la communauté belge.
Daniel collaborait de temps en temps à la Gazette et avait signé en juin dernier un article sur son voyage en Papua à la rencontre des tribus Dani dans la vallée de Baliem. Nous caressions le projet avec lui de publier d’ici quelques mois quelques photos extraites de sa magnifique collection d’archives sur Bali, c’était un amoureux de l’île des dieux qui cherchait constamment à mettre en valeur la beauté de cette île et de ses habitants, et son patrimoine.
Rappelons qu’il avait commencé sa carrière dans la gendarmerie en 1972 avant de passer à la 23ème brigade de police judiciaire. Il a brillé dans quelques enquêtes liées au grand banditisme et avait hérité du surnom Dandy. Daniel s’est installé définitivement à Bali il y a une quinzaine d’années.
Un commentaire sur notre article media de juin intitulé « La France, le socialisme et les Indonésiens ».
Précisons quand même que ce n’est pas tant Suharto que les USA via la CIA qui a permis ce coup d’état en Indonésie afin d’y installer le dictateur Suharto. Car le président d’alors, Sukarno, dérangeait fortement, notamment à la suite de la célèbre conférence de Bandung (Afrique-Asie unis, les non-alignés...). En pleine guerre froide avec cette chasse au communisme, les USA en voyaient partout. Sukarno (nationaliste de gauche, socialiste ?) n’était pas communiste, mais plus facile pour le destituer aisément de le faire croire. Oui le capitalisme actuel est une autre forme de dictature. Comme il est si justement dit : « le capitalisme ne peut pas avancer sans être soutenu par une force de travail compétente et des pays qui le servent » et lorsque l’on voit que les manifestations se font nombreuses en Indonésie, on peut espérer que le peuple fasse entendre à nouveau sa voix à l’avenir. 1998 et la révolution n’est pas si loin que cela... Les jeunes en ont ras-le-bol de voir que la corruption est toujours là. Il se pourrait qu’un ou plusieurs partis s’opposent au tout capitalisme et à cette logique du profit avant tout, avant l’amélioration des conditions de vie du peuple.
David
Un animateur-radio de l’autre bout du monde invite les gens du Midi installés à Bali à apporter leur témoignage sur leur nouvelle vie…
Je suis Eric, animateur-radio sur France Bleu Provence. Pour mon émission « Les Provençaux du bout du monde », je recherche des expatriés originaires ou ayant vécu quelques années dans les départements des Bouches du Rhône, Var et Alpes de Haute Provence pour faire une interview téléphonique afin de nous faire découvrir cette nouvelle vie, à l’étranger ou dans les Dom Tom. Voyager dans le monde entier, c’est mon souhait, alors contacte-moi à eric.thomas@radiofrance.com. Les chroniques s’écoutent sur francebleuprovence.fr et sur le Facebook « Les Provençaux du bout du monde », les photos de rêve ! A bientôt ! Merci de votre collaboration et si j’ai un contact je ne manquerai pas de parler dans une des chroniques du journal la gazette de Bali... A bientôt.
Eric Thomas
Un commentaire sur notre article media de juin intitulé « La France, le socialisme et les Indonésiens ».
Précisons quand même que ce n’est pas tant Suharto que les USA via la CIA qui a permis ce coup d’état en Indonésie afin d’y installer le dictateur Suharto. Car le président d’alors, Sukarno, dérangeait fortement, notamment à la suite de la célèbre conférence de Bandung (Afrique-Asie unis, les non-alignés...). En pleine guerre froide avec cette chasse au communisme, les USA en voyaient partout. Sukarno (nationaliste de gauche, socialiste ?) n’était pas communiste, mais plus facile pour le destituer aisément de le faire croire. Oui le capitalisme actuel est une autre forme de dictature. Comme il est si justement dit : « le capitalisme ne peut pas avancer sans être soutenu par une force de travail compétente et des pays qui le servent » et lorsque l’on voit que les manifestations se font nombreuses en Indonésie, on peut espérer que le peuple fasse entendre à nouveau sa voix à l’avenir. 1998 et la révolution n’est pas si loin que cela... Les jeunes en ont ras-le-bol de voir que la corruption est toujours là. Il se pourrait qu’un ou plusieurs partis s’opposent au tout capitalisme et à cette logique du profit avant tout, avant l’amélioration des conditions de vie du peuple.
David
A la suite de « l’affaire belle Nyoman », un commentaire d’un autre intervenant qui s’est reconnu. Nous relayons sa déclaration qui n’est en aucun cas un article sous la responsabilité éditoriale de La Gazette de Bali mais, comme les précédents, un courrier privé qui n’engage que la responsabilité de son auteur.
Juste quelques mots, pour répondre à la question :
« Demandez-lui pourquoi il est parti ? » Je ne suis pas parti, j’ai été mis à la porte de chez moi avec des menaces sévères, et à faire de manipulations. Je me suis retrouvé privé de mon fils, sans rien. Nyoman a été aidée dans ses manipulations par un homme qu’elle a fait passer pour son « frère » auprès de moi-même. Selon sa famille, cet homme ne fait pas partie de la famille.
Pour éviter d’avoir plus de problèmes, j’ai dû me plier à certains impératifs. La violence à laquelle j’ai été exposé durant cette période et au moment où j’ai été mis à la porte a été vue. J’ai plusieurs témoins. Aujourd’hui, j’attends Nyoman au tribunal pour conclure cette histoire, récupérer mes droits et ma vie, mais elle se fait absente.
Régis Poslednik
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