A la suite de « l’affaire belle Nyoman », un commentaire d’un autre intervenant qui s’est reconnu. Nous relayons sa déclaration qui n’est en aucun cas un article sous la responsabilité éditoriale de La Gazette de Bali mais, comme les précédents, un courrier privé qui n’engage que la responsabilité de son auteur.
Juste quelques mots, pour répondre à la question :
« Demandez-lui pourquoi il est parti ? » Je ne suis pas parti, j’ai été mis à la porte de chez moi avec des menaces sévères, et à faire de manipulations. Je me suis retrouvé privé de mon fils, sans rien. Nyoman a été aidée dans ses manipulations par un homme qu’elle a fait passer pour son « frère » auprès de moi-même. Selon sa famille, cet homme ne fait pas partie de la famille.
Pour éviter d’avoir plus de problèmes, j’ai dû me plier à certains impératifs. La violence à laquelle j’ai été exposé durant cette période et au moment où j’ai été mis à la porte a été vue. J’ai plusieurs témoins. Aujourd’hui, j’attends Nyoman au tribunal pour conclure cette histoire, récupérer mes droits et ma vie, mais elle se fait absente.
Régis Poslednik
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