La réponse de la rédaction…
Tout d’abord merci pour vos compliments, Martine, cela nous va droit au cœur. Ce n’est pas toujours facile de plaire aux francophones et tout particulièrement aux Français qui ont la mauvaise habitude d’avoir la critique plus qu’aisée. Depuis sa création en 2005, la Gazette a donc eu son lot de dénégateurs dans la communauté, oiseaux de mauvais augures et autres rabat-joie, préoccupés peut-être par les coups de pied dans la fourmilière que nous n’avons pas manqué de donner et qui perturbaient de vieilles habitudes. Presque six ans après, nous sommes toujours là et plutôt en bonne forme, la preuve que notre publication a réussi à tresser des liens avec son lectorat, ce qui est la raison d’être de tout journal. Donc, merci à vous tous, vous qui aimez la Gazette, et dont vous faites partie, Martine. Pour répondre à votre question sur les ennuis que nous pourrions avoir eu à cause de notre liberté de ton comme vous dîtes, sachez qu’en dehors de la communauté française, nous n’avons eu à souffrir d’aucune pression, reproche, mise en garde ou menace, prouvant ainsi que nos hôtes indonésiens sont bien plus tolérants que nous-mêmes. On pourrait argumenter qu’ils ne comprennent pas nécessairement le français, je répondrais que ce qu’on peut lire dans les presses anglophone ou indonésienne du pays vont bien plus loin que nous dans leurs critiques. Ouvrez ces journaux, allumez la télé, vous verrez ! Et si parfois, nous pratiquons une forme d’auto-censure, c’est plus en regard des réactions de notre propre communauté de langue, représentations officielles comprises, que de celles de nos hôtes. Cordialement. La rédaction.
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