Au sujet de Bali Med
Michel Schmit, notre contributeur occasionnel du « Café des Sports », est d’accord avec SG sur la qualité des prestations de l’hôpital Bali Med et nous recommande également Penta Medica. Il nous explique pourquoi… Tout d’abord, je tiens à féliciter Rodolphe pour sa réponse au « coup de gueule » de Patrick Tisserand. J'approuve totalement. Sinon, pour les « avides de bons tuyaux en matière de santé » et en prolongement du courrier de SG, je souhaiterai apporter quelques précisions complémentaires qui me semblent importantes en associant la clinique Penta Medica à l'hôpital Bali Med. Donc, tout à fait d'accord avec SG, Bali Med est à recommander. J'ai malheureusement été amené à cause de ma famille à fréquenter tous les hôpitaux de Bali et pour moi, Bali Med, c’est le top, questions prix, environnement et prestations. J'ajouterai que, pour ma part, je n'ai jamais eu de problème de langue, le personnel d'accueil parlant parfaitement anglais et que je n'ai jamais eu non plus à payer quoi que ce soit en arrivant, ni à déposer une quelconque empreinte de carte de crédit, très certainement parce que j'étais envoyé par Penta Medica où travaille mon généraliste. Il y a longtemps que j'ai laissé derrière moi BIMC, puis ensuite SOS Medica qui pourtant était par le passé ma clinique favorite, le personnel étant accueillant et les soins pas trop chers. 4 ou 5 des plus anciens médecins ont quitté SOS Medica il y a quelques années pour fonder leur propre clinique, mon médecin traitant en faisait partie, j'ai donc suivi tout naturellement et n'ai eu qu'à m'en féliciter. La clinique Penta Medica est située à Denpasar, au 88 Jl Teuku Umar Barat -Malboro, donc à proximité de Bali Med, avec qui elle a des accords particuliers, ainsi qu'avec Kasih Ibu, pour ce qui est des radios ou IRM. Les tarifs pratiqués sont des plus attractifs, entre 150 et 180 000 Rp pour tous les étrangers Kitas ou non, tout le personnel parle parfaitement anglais et l'on ne paye qu'après les consultations. Penta Medica soigne d'abord et se fait payer ensuite. La clinique est ouverte 24/24H, assure les soins à domicile, les rapatriements sanitaires et les vols d'urgence sur Singapour. Grâce à son carnet d'adresses et à ses nombreux accords, Penta Medica assure si vous le désirez, le suivi de ses consultations en coordonnant les différentes prestations à venir. Un exemple : besoin d'une radioscopie, Penta prend le RDV, vous faites la radio à Kasih Ibu et vous payez ensuite à Penta Medica. Par ce biais, une radioscopie m'est facturée entre 80 et 150 000 Rp. Cette adresse est à connaitre par tous les Français de Bali, résidents ou non. Je déconseille fortement les autres par expérience. Exemple concernant un autre établissement bien connu : il y a quelques années, ma fille ayant été hospitalisée, nous sommes allés tout naturellement consulter par la suite le médecin pour enfant qui l'avait suivie durant son hospitalisation. A la réception, pas moyen de voir directement ce médecin pour enfant, nous avons été dirigés de force sur un généraliste qui, bien sûr, après avoir regardé ma fille qui avait 5 ans à l'époque, nous a dirigé tout de suite sur le pédiatre concerné. Mais, à ma grande surprise, au moment de payer, je me suis retrouvé avec 2 consultations à 1 250 000 Rp chacune. Finalement, de colère, je suis parti sans payer et ce, devant le responsable de la clinique qui avait été appelé mais qui n'a pas osé s'opposer à mon départ. Contact de la Clinique Penta Medica : 0361 744 61 44 et par email à pentabali@yahoo.com ou encore directement le docteur Satrya au 0811 39 34 05. Il y a également un service dentaire au 0817 97 67 114. Michel Schmit
Papaya va en prison
Dans son style unique et avec l’acuité qui la caractérise, l’écrivaine Papaya, la plus parisienne des habitués des pages courrier de la Gazette, rebondit sur « le mot du Consul » de mars qui portait sur la prison de Kerobokan avec un texte intitulé « Papaya va en prison »… Le mois dernier, comme d’habitude, j’ai lu avec plaisir « le mot du Consul ». Cette fois-ci, il s’agissait d’un sujet familier : LAPAS, la prison de Kerobokan ou « l’hôtel le moins cher du coin » comme l’appellent les locaux. J’ai donc pu comparer ma petite expérience avec celle de notre consul. Bizarrement, moi je suis tombée des jours où il n’y avait pas d’enfants mais, par contre, de nombreux couples, souvent mixtes d’ailleurs, qui, assis par terre, s’embrassaient non « furtivement » mais à pleine bouche, ajoutant une touche Woodstock surprenante à l’ambiance pique-nique. Ce qui était frappant, c’était cette joie de vivre éclatante qui émanait comme toujours des Indonésiens jusque dans cet endroit a priori lugubre. Et certains, qui ne perdaient pas le nord, proposaient de me louer à l’heure un tapis en raphia en fin de vie pour m’éviter de salir mon postérieur délicat de wanita bule. Les premières fois, j’ai apporté à mon ami une cartouche de cigarettes, du gâteau, des oignons pour relever son nasi, des omega3 pour aider son moral à ne pas flancher etc. Par la suite, il m’a demandé de bien envelopper tout cela car des vautours rôdaient et le rackettaient dès son retour au bloc – plutôt pour les clopes que les oignons, d’ailleurs. Mais je m’égare un peu car ce que je voulais dire, c’est qu’une phrase de notre cher consul m’a fait sursauter : « Mais que cela ne vous empêche pas de rendre visite aux Français qui s’y trouvent. La faute n’empêche pas la compassion. » La faute, la faute ? Euh… justement l’ami que j’allais soutenir purgeait une peine de 2 ans pour avoir donné l’adresse d’un dealer de marijuana à un imbécile qui a ensuite eu la riche idée de fumer son pétard en public et de se faire attraper par la police (en Indonésie dénoncer vous rapporte des sous alors tout peut dégénérer très vite). En France, il n’aurait même pas ramassé une amende pour cela ! Quant à ses copains de cellule, ils croupissaient souvent là pour un ecstasy ou deux grammes de haschisch. Ici drogues douces et dures, c’est tout dans le même sac ! Et s’ils n’avaient pas d’argent pour monnayer leur sortie… Heureusement, la peine de mon ami a finalement été allégée car la prison est pleine. On le conçoit aisément ! En plus, maintenant, il faut payer si l’on ne veut pas être transféré à Singaraja ou Karangasem, là où personne ne viendra vous voir. Bref, si vous rendez visite à vos compatriotes à la prison de Kerobokan, il y a peu de chances que vous vous retrouviez face à des brigands de grands chemins ! Nancy Causse Yogya, alias Papaya
Suite au premier billet de Miss O intitulé « L’assassinat des feux d’artifices », un lecteur s’insurge contre sa critique de la vulgarité ordinaire du réveillon, marquant ainsi l’entrée très remarquée de notre nouvelle contributrice ! Il s’en prend également, comme le fit Rodolphe le mois dernier et Michel ce mois-ci, à Patrick qui lui s’était offusqué de voir certains Occidentaux proposer des récompenses importantes en une des journaux pour récupérer leur Médor égaré… Je voulais simplement vous dire que je trouvais très très gênant et assez rare de se sentir agressé en lisant un journal ! Je suis simplement sidéré qu'une certaine Miss O, O comme zéro, nul, profite d'un journal gratuit pour vomir ainsi sur nos chers copains, copines, femmes, etc.! On a souvent quitté nos pays pour fuir ce genre de personne et pour profiter du « farniente ambiant », pas pour se faire invectiver par une énième donneuse de leçons ! Bref, c’est plutôt d'un psy qu'elle aurait besoin et là, eu égard à ce cher Socrate, je resterai poli ! Donc pour refaire bref : si cela ne vous plait pas, il y a d'autres contrées où les hommes ne louchent pas sur les femmes et où ces dernières ne portent pas de robes trop sexy. Et qui peut me dire ce qu'est une robe trop sexy ? Peut-être l'Arabie saoudite ? La Corée du Nord ? (oups ! lol), bref, rien ne vous empêche de prendre l'avion ! On ne vous retient pas ! Je suis aussi fatigué de voir encore un Patrick juger quelqu'un qui offre environ 800 euros pour retrouver ses chiens ! La belle affaire ! Parce que l'on offre une récompense pour ses chiens on n'aime pas sa famille ? Encore un Freud qui s'ignore ! Encore de la grande psy de comptoir ! Peut-être ce cher Patrick et cette Miss O (O comme nulle) devraient s'associer pour monter un cabinet... au sens premier du terme s'entend ! Si ça continue ainsi, on va finir par regretter Rainer et son ami Jean... lol. Cordialement. Max
La réponse de Miss 0…
Quoi que l'on dise de mes articles, tant qu'on en parle, ça me fait de la publicité gratuite. Merci Max ! Ma réflexion sur le thème de la fête est librement inspirée du texte de Pascal : « Le divertissement » qui démontre que toutes nos activités de loisirs servent essentiellement à occulter à nos propres yeux (à nous divertir de) notre peur de la mort. Et petit détail en passant, toutes mes robes sont très/trop sexy ! Avec toute mon amitié. Miss O
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