Nous n’avons pas l’habitude de publier les messages de félicitations que nous recevons mais pour fêter le numéro 100 de la Gazette, nous passons celui-ci qui nous va droit au cœur. Au nom de toute l’équipe, merci Cédric !
Toutes mes félicitations à La Gazette de Bali ! Fraîchement débarqué,
j’ai ramassé votre canard en pensant : « Ah, voilà la feuille de choux des Français ! Bon, il faut que je voie un peu comment ça se passe ici ; il faut que je me colle les usuels potins sans intérêt, bourrés de fautes et imprimés de travers. »
J’avais tort de médire ! Loin du gribouillis-fouillis que l’on rencontre dans toutes les grandes villes remplies d’expatriés français et que l’on parcourt en cinq minutes, j’ai été ravi de ma lecture de votre mensuel. Merci et bon courage pour votre continuation.
L’aspect, c’est la première impression : merci pour ce beau papier et cette belle présentation. Même les publicités sont chouettes ! Merci pour le tableau de marée pour aller courir sur la plage à marée basse. Et surtout merci pour ce petit humour qui m’a fait souvent sourire :
- la tante Yvonne et les waka-bâfreries de Socrate ;
- les bedaines atrocement découvertes de Didier ;
- les conseils taquins de Stéphanie (à l’heure de la découverte, je chasse justement les marchés de fruits) ;
- l’agacement d’Eric et son admiration des kriss (que je vais aller voir dans les prochains jours) ;
- les petites aventures de Ron (qui résonnent dans ma tête – courant, plongée, lamantins) ;
- les mots sages de Lidia (j’ai l’impression de passer mon temps à dire aux enthousiasmés du polyglottisme ce qu’elle écrit-là ; et je me sens donc moins seul) ;
- les petits soucis quotidiens de Nancy (qui me rappellent que chaque installation dans un autre pays est plein de détails à maîtriser ; et je pense : « surtout ne pas m’installer avant d’avoir un vrai projet ») ;
Merci aussi pour les deux articles avec un peu de recul de Jean-Baptiste et Eric et l’interview peu enthousiasmante de Corinne. Ça me donne justement quelques perspectives. Merci aussi de m’avoir fait rêver sans le savoir puisque les éditions Kailash de Pondicherry me ramènent à ma vie en Inde et les Gili devenus saturés à ma première visite en Indonésie il y a douze ans. Je suis arrivé à Bali en tant que marin en escale. Si je reste quelques mois comme entrepreneur qui se remet au travail, je serai ravi de faire votre connaissance. Bon courage à toute l’équipe et surtout : continuez !
Cédric Holtz
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