Le cinéaste et romancier Marc Esposito, qui vit à Bali et que nous avons déjà interviewé (cf. La Gazette de Bali n°14 – juillet 2006) à l’occasion de la sortie de son film tourné à Bali « Toute la beauté du monde », nous fait cette remarque sur un papier que nous avons publié sur la programmation de deux de ses films au restaurant-cinéma BlackBeach d’Ubud et au sujet desquels nous avons omis de mentionner son nom…
Bonjour, Je suis un fidèle lecteur de la Gazette, mais là, je suis déçu, et irrité. Je viens de lire un papier de la Gazette « Cinéma tous les jeudis soirs à Blackbeach », et c’est pour le moins choquant dans un long papier-programme de ce genre, que les noms des réalisateurs des films projetés ne soient jamais cités, et d’autant plus choquant que deux sur quatre sont réalisés par un mec qui passe six mois par an à Bali, ma pomme, et que ce paramètre est probablement pour quelque chose dans le choix des programmateurs. Et si c’est un hasard, n’était-ce pas le rôle de La gazette de Bali de le signaler ? Amicalement.
ME
La réponse de la rédaction…
Salut Marc, Nous sommes infiniment désolés de cette bévue dans l’agenda culturel. La propriété intellectuelle a un sens pour nous, nous sommes aussi des auteurs. Et si nous t’avions interviewé à la sortie de ton film sur Bali plutôt que tes acteurs, c’est parce que nous avons pleinement conscience qu’un réalisateur est bien la pierre angulaire du long cheminement qui mène jusqu’à la sortie d’un film en salle. Maigre consolation, ton nom figurait tout de même sur l’article en question puisque c’est l’affiche de ton film qui illustrait la brève rédigée par notre stagiaire Arthur. Bien amicalement.
Socrate Georgiades
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